Kayak - 200 km à travers le Québec sauvage
AVENTURE A KAYAK
Du réservoir Pipmuacan à Saguenay
Notre aventure consiste à pagayer à travers les lacs, les rivières et les paysages naturels, parcourant une distance de 200 km vers le sud.
Nous cherchons à explorer la nature sauvage du Canada, à défier les éléments, à découvrir des endroits isolés, et à nous immerger pleinement dans l'essence de cette région magnifique et préservée.
Plonge au cœur de notre expédition en kayak à travers les merveilles du Québec sauvage.
Que tu sois un passionné de kayak ou un amoureux de la nature en quête d'inspiration, ces vidéos t'offriront un véritable voyage visuel. Découvre les paysages grandioses et ressens l'excitation de l'aventure dans le Québec sauvage.
VIDEOS
Plonge au cœur de notre expédition en kayak à travers les merveilles du Québec sauvage.
Que tu sois un passionné de kayak ou un amoureux de la nature en quête d'inspiration, ces vidéos t'offriront un véritable voyage visuel. Découvre les paysages grandioses et ressens l'excitation de l'aventure dans le Québec sauvage.
VIDEOS
Plonge au cœur de notre expédition en kayak à travers les merveilles du Québec sauvage.
Que tu sois un passionné de kayak ou un amoureux de la nature en quête d'inspiration, ces vidéos t'offriront un véritable voyage visuel. Découvre les paysages grandioses et ressens l'excitation de l'aventure dans le Québec sauvage.
VIDEOS
Statistiques de l'expédition
Jour 5 - Lac Onatchiway > Lac de La Mothe
35.06 km Durée 7:13:36 12:22 /km
Comment s'y rendre?
Avion
Paris - Charles De Gaulle > Aéroport de Montréal - Trudeau
Train
Montréal - Jonquière (Lac Saint Jean)
Durée 10h. On vous le recommande pour ses paysages et le confort de ce train régional !
Bus
Jonquière - Chicoutimi
Saint-David-de-la-Falardeau > lac de Pipmuacan
La compagnie d'hydravion est venu nous récupérer à notre hôtel car nous n'avions pas de voiture.
ITINERAIRE
Statistiques de l'expédition
Jour 5 - Lac Onatchiway > Lac de La Mothe
35.06 km Durée 7:13:36 12:22 /km
Comment s'y rendre?
Avion
Paris - Charles De Gaulle > Aéroport de Montréal - Trudeau
Train
Montréal - Jonquière (Lac Saint Jean)
Durée 10h. On vous le recommande pour ses paysages et le confort de ce train régional !
Bus
Jonquière - Chicoutimi
Saint-David-de-la-Falardeau > lac de Pipmuacan
La compagnie d'hydravion est venu nous récupérer à notre hôtel car nous n'avions pas de voiture.
ITINERAIRE
Dans notre quête incessante de repousser nos limites et de découvrir de nouveaux horizons, nous allons entreprendre une expédition en kayak bivouac de 200 km à travers les magnifiques paysages du Québec grâce à notre kayak gonflable !
Cette aventure unique nous emmènera à travers des rivières majestueuses, des lacs sereins et des canaux pittoresques, mettant en avant la beauté naturelle de la province.
Nous cherchons à explorer la nature sauvage du Canada, à défier les éléments, à découvrir des endroits isolés, et à nous immerger pleinement dans l'essence de cette région magnifique et préservée.
Comment va-t-on se rendre à 200km au-dessus de Saguenay ? En Hydravion grâce à Hydravion Québec qui nous permet d’accéder à des endroits reculés !
On part avec 10 jours de nourriture, une bombe au piment de Cayenne anti-ours et nos caméras évidemment !
RECIT D'AVENTURE
RECIT D'AVENTURE
Dans notre quête incessante de repousser nos limites et de découvrir de nouveaux horizons, nous allons entreprendre une expédition en kayak bivouac de 200 km à travers les magnifiques paysages du Québec.
Cette aventure unique nous emmènera à travers des rivières majestueuses, des lacs sereins et des canaux pittoresques, mettant en avant la beauté naturelle de la province.
Comment va-t-on se rendre à 200km au-dessus de Saguenay ? En Hydravion grâce à Hydravion Québec qui nous permet d’accéder à des endroits reculés !
On part avec 10 jours de nourriture, une bombe au piment de Cayenne anti-ours et nos caméras évidemment !
Jour 1 - 2 septembre 2023
Au cœur du Québec, là où la nature dévoile sa beauté brute, s'étendent des lacs, des rivières, des joyaux naturels hors de portée pour beaucoup. C'est là que l'hydravion devient notre unique allié, notre sésame vers l'inexploré.
Notre guide aérienne, Sarah d'Hydravion Québec, nous catapulte à 200 km au nord de Saguenay, destination : une petite île de sable sur la partie est du réservoir Pipmuacan. Un trajet à couper le souffle, où le relief majestueux et la densité de la forêt dense annoncent le défi qui nous attend pour pagayer de lac en lac. La sauvagerie et l'hostilité de ce territoire se révèlent avec chaque kilomètre parcouru.
L'île de sable, absente des cartes, devient notre havre éphémère. Seuls au milieu de la nature, une fois l'hydravion disparu à l'horizon, le point de non-retour est atteint.
Et c'est là que tout commence.
Bienvenue dans l'aventure pure, dans l'inconnu qui n'attend que d'être exploré.
C'est au son des premiers coups de pagaie, bravant un vent de face implacable et un courant résistant, que notre aventure s'amorce. Un kayak, chargé de 45 kg d'équipement plus nos poids respectifs, s'avance lentement, chaque avancée synonyme d'effort et de persévérance.
Malgré la résistance de l'élément, la vue depuis notre embarcation dépasse toutes les espérances. Seuls au monde, enveloppés par la nature sauvage du Canada, nous nous accordons quelques pauses bien méritées sur des plages paradisiaques.
Mais ce premier jour ne se fait pas sans épreuve. Un portage de 3 kg à travers une forêt dense, des marécages infranchissables, des buissons obstinés – autant de défis à surmonter avec un kayak lourd comme fardeau. Le temps et l'énergie s'égrènent, mais notre détermination reste inébranlable.
Après 26 km d'efforts, un bivouac sur un gros caillou en bord d'eau devient notre refuge. Cependant, la découverte d'une crevaison lente sous le kayak, lors de sa remontée hors de l'eau, jette un voile d'incertitude sur notre périple. Sous la pluie battante, la rustine tente tant bien que mal de colmater la brèche, mais le doute s'insinue.
Un instant de flottement, puis une décision ferme : rien ne nous fera plier. L'aventure doit continuer, coûte que coûte. Car c'est dans ces moments où l'incertitude plane que se forge le véritable esprit d'aventure.
Jour 2 - 3 septembre 2023
En ce premier réveil, l'urgence nous pousse vers notre fidèle compagnon d'aventure : le kayak. Sur 10 psi, il n'en reste plus que 8. Mais attendre 24 heures pour que la colle Néoprène sèche ? Nous n'avons ni le temps ni l'envie de patienter sur ce rocher inhospitalier. La décision est prise : nous repartons, gardant un œil vigilant sur le niveau de gonflage à chaque arrêt.
Le réservoir, vaste étendue d'eau à perte de vue, nous confronte à ses caprices : un vent perpétuel, toujours de face, et des vagues à défier lors des grandes traversées. C'est comme naviguer en pleine mer, au cœur des terres.
Pourtant, malgré les obstacles, nous avançons. Parfois, nous devons porter le kayak, parfois nous nous arrêtons sur des plages désertes pour reprendre notre souffle. Mais à chaque coup de pagaie, à chaque instant passé dans cette nature sauvage, un sentiment de bonheur indescriptible nous envahit.
Seuls au milieu de cette immensité, nous nous sentons vivants, connectés à l'essence même de l'aventure. Et c'est avec cette énergie que nous poursuivons notre exploration, prêts à affronter tous les défis, à découvrir chaque recoin de ce territoire sauvage qui s'offre à nous.
L'instant de pause pour la nuit tant attendu est enfin arrivé. Une presque-île se présente à nous, un abri parfait pour planter notre tente et allumer un feu réconfortant, indispensable pour sécher nos affaires.
Sur l'île, des traces fraîches témoignent du passage d'un orignal ou peut-être même d'un ours. L'incertitude règne, mais il est trop tard. La tente est dressée, le feu crépite, et c'est là que nous passerons la nuit.
Sous une lune généreuse, éclairant chaque recoin de notre île éphémère, nous nous endormons bercés par les hurlements lointains des loups. Une ambiance à la fois mystique et sauvage, mais c'est précisément pour cela que nous sommes venus : pour être au cœur de la nature, pour vivre pleinement chaque instant de cette aventure extraordinaire.
Jour 3 - 4 septembre 2023
Ce matin, le temps semble avoir fait une pause. Aucun souffle de vent, aucune onde ne trouble le calme. La nature sommeille encore, tandis que le soleil, lui, se lève majestueusement, offrant un spectacle à couper le souffle.
Réveillés aux aurores, nous ne pouvons plus fermer l'œil depuis que, vers 5h30, un loup s'est aventuré un peu trop près de notre campement à notre goût.
Mais tout arrive pour une raison. Ce moment d'immobilité nous offre l'opportunité d'admirer ce qui nous entoure. Nous étendons nos vêtements sur les rochers, profitant du soleil naissant pour les sécher, et nous rechargeons toutes nos batteries grâce à notre fidèle panneau solaire 16W.
Désormais, nous ne partirons plus en expédition sans lui. Il nous offre une recharge rapide pour nos deux téléphones, nos deux GoPro et même les batteries du drone ! Une merveille signée Solarbrother, et nous avons même le plaisir de vous offrir 10% de réduction avec le code NVK10.
Le calme n'a été qu'éphémère. Après 3 km de pagayage, le vent se lève à nouveau, nous soumettant à de nouveaux défis lors des grandes traversées où nous ne pouvons nous abriter derrière des îles.
Pour tracer notre expédition, nous avons fait appel à l'application maps.me et à la vue satellite de Google Earth. Ces outils nous ont permis de planifier les portages en kayak en évitant des détours inutiles. Cependant, la réalité sur le terrain a réservé des surprises. Les portages que nous pensions valides étaient désormais barrés par d'épais buissons ou des obstacles naturels infranchissables.
Bilan de la journée : 40 km de kayak. Une performance dont nous sommes fiers, mais nos estomacs crient famine. Nous sommes clairement limités par le poids de notre chargement. Notre kayak a une capacité maximale de 220 kilos, que nous atteignons rapidement avec tout l'équipement vidéo, les affaires de campement, les sièges, les pagaies, la nourriture pour 10 jours, notre poids et les autres objets de survie.
La journée type en termes de nourriture pour une personne se résume ainsi : 40 g de flocons d'avoine le matin, 2 barres énergétiques pendant la journée et un repas lyophilisé réconfortant le soir.
Ce soir, nous accostons sur une île de sable. Pas d'arbres, seulement du bois flotté qui nous permettra de faire un feu. Nous savourons le repas lyophilisé après une journée aussi intense, d'autant plus que l'endroit est une fois de plus paradisiaque.
Jour 4 - 5 septembre 2023
Il y a des journées comme celle-ci, pleines de rebondissements et de rencontres, qu'on ne peut oublier.
Après les 40 km de la veille, nous sommes tombés comme des masses sur nos matelas gonflables et avons dormi d'une traite. C'est désormais un rituel de regarder le soleil se lever, et nous ne nous lasserons jamais de ce magnifique spectacle.
Le temps est calme, pas un souffle de vent. Les premiers coups de pagaie de la journée se font sur le lac Pamouscachiou, que nous allons traverser pendant encore 10 kilomètres aujourd'hui. C'est d'une beauté remarquable quand il n'y a aucune vague. Le lac reflète comme dans un miroir toute la végétation environnante. C'est comme si le ciel et la terre se reflétaient, et nous ne savons plus trop dans lequel nous pagayons.
Nous arrivons au barrage Pamouscachiou, qui marque la fin du lac. L'itinéraire prévu comporte plusieurs portages en raison de la présence de nombreux rapides. Notre kayak gonflable, trop fragile et pas du tout adapté à cette pratique, ainsi que l'absence de casques, ne nous permettent pas de les franchir.
Nous atterrissons sur une large route utilisée par des camions pour transporter du bois. Nous décidons de poser nos affaires au bord de la route et de faire du stop dans l'espoir que quelqu'un nous prenne.
À peine avons-nous levé le pouce qu'un pick-up rouge débarque. Nous expliquons à nos deux nouveaux amis québécois notre périple et notre destination. Ils nous disent que la rivière que nous souhaitons emprunter n'est pas praticable par endroits et est pleine de rapides. Ils nous proposent de nous déposer 19 km plus bas, au niveau d'un pont.
Ni une ni deux, nous chargeons les affaires, attachons le kayak, sautons à l'arrière du pick-up et partons, cheveux au vent.
Notre lift nous laisse sur la rivière Shipshaw. Quelques petits rapides à passer à pied, et nous voilà sur une rivière plus large qui traverse un canyon de forêt. Si seulement nous avions pu capturer l'odeur si délicieuse de pins de cet endroit...
Nos nouveaux amis québécois sont des pêcheurs aguerris. Avant de les quitter, nous leur avons montré notre fil de pêche et notre hameçon avec lesquels nous souhaitions pêcher. Ils apportent quelques modifications et ajoutent leur touche personnelle. Ils nous assurent qu'en moins de 2 minutes, nous aurons un poisson.
Nous décidons de nous arrêter tôt aujourd'hui pour profiter un peu. À 15h30, nous tombons sur une petite île paradisiaque avec du sable blanc fin et quelques arbres au milieu. Nous nous sentons seuls au monde sur notre petit paradis.
C'est le moment d'essayer de pêcher. Nous mettons le kayak à l'eau et pêchons à la traîne comme suggéré par nos amis québécois. En une minute, un poisson tire la ligne. C'est un brochet !
Ce soir, c'est un festin royal ! Nous faisons un feu pour cuire notre poisson accroché à du bois et construisons une table avec un caillou et des branches. Nous savourons l'instant et la chance que nous avons de vivre ce moment loin de tout, dans le calme en harmonie avec la nature.
Jour 5 - 6 septembre 2023
On s'en doute en voyant notre position sur la carte, le retour à la civilisation est pour bientôt, et nous savourons profondément tous ces derniers moments.
Les premiers coups de pagaie sur le petit lac Onatchiway sont fabuleux. L'effet miroir, cette symétrie naturelle qui donne l'impression de pagayer à l'envers : c'est splendide.
La journée se poursuit sur la rivière Shipshaw. Elle est assez large et sans rapides pour l'instant. Seul bémol comme toujours, le vent de face contre lequel on doit se battre pour avancer. Nous adoptons tous les deux la même technique : on passe en mode Automatique. On débranche notre cerveau et on pagaie en rythme sans se rendre compte que l'on pagaie. Cette sensation est fabuleuse, elle nous propulse directement dans l'instant présent.
Après 30 km, nous entamons la recherche d'un bivouac. On se rend compte que cela est assez compliqué pour deux raisons : le niveau de la rivière est haut, ce qui ne laisse pas de place à des plages naturelles (c'est direct une forêt dense ou des maraîchages) ou alors des pontons privés d'habitation. Après quelques kilomètres, on trouve un ponton abandonné. Tout devient aussi automatique : on pose rapidement la tente, on chauffe l'eau pour les lyophilisés, et on profite comme toujours du magnifique coucher de soleil.
Jour 6 - 7 septembre 2023
Le réveil sur notre ponton abandonné est empreint d'une atmosphère paisible, malgré un vent qui commence à se lever.
L'horizon se dessine avec des signes de civilisation de plus en plus nombreux, marqués par la présence d'habitations et d'hydravions.
Le retour des barrages s'accompagne inévitablement de nombreux portages, ajoutant une dose supplémentaire de défis à notre périple.
La quête d'un lieu de bivouac devient également ardue, les rives étant parsemées d'habitations riveraines.
Finalement, notre refuge se révèle au cœur du réservoir de Lamotte, sur une petite île où les habitants locaux ont aménagé un espace propice à la convivialité autour d'un feu. Un véritable paradis caché qui enrichit notre aventure.
Jour 7 - 8 septembre 2023
La météo se montre capricieuse avec l'annonce d'orages et de pluie. Malgré tout, nous savourons notre ultime bivouac, prêts à affronter les éléments.
C'est sous la brume et les nuages que nous entamons notre journée. Malheureusement, Hortense se blesse au cours de la route, victime du frottement constant de son gilet de sauvetage.
On apprécie beaucoup moins ces parties habitées, surtout après avoir vécu dans le Quebéc sauvage. Notre parcours est semé d'embûches, entre les bouées des barrages et les obstacles naturels.
Nous marquons un arrêt à la base d'hydravion d'où nous sommes partis une semaine plus tôt afin de boucler la boucle.
Alors que nous nous dirigeons vers Saguenay, un violent orage éclate, accompagné d'une pluie torrentielle. Déterminés, nous persistons malgré les éléments. Mais le défi ne réside pas seulement dans le pagayage, c'est surtout la sortie des lacs qui se révèle ardue. Les berges sont habitées, et il est impossible de débarquer sans passer par des pontons privés. Nous optons finalement pour un ponton déserté, en espérant ne pas déranger.
Une autre difficulté survient : les lacs ne sont pas connectés, ce qui entraîne de longs passages à porter notre équipement (parfois sur plus de 2 kilomètres). Le stop se révèle moins efficace, les véhicules se font rares et inadapté à la prise d'un kayak en stop.
En plein portage, une odeur alléchante nous attire vers un restaurant de poulet frit. Après 7 jours de privation, nous ne résistons pas à cette tentation. Pendant ce temps, Francis explore à pied les environs du prochain lac, réalisant l'impossibilité d'y accéder sans traverser des propriétés privées.
Etant donné que nous sommes à seulement 15 km de Chicoutimi / Saguenay, nous décidons de dégonfler le kayak pour faciliter le transport. Alors que nous plions nos affaires devant le restaurant, une voiture nous klaxonne. C'est Tommy, notre ami québécois, qui nous avait déjà pris en stop 150 km plus haut quelques jours auparavant ! Il rentre du travail, direction : Chicoutimi ! Le destin nous réunit à nouveau, une rencontre fortuite qui donne du sens à notre aventure.
Nos conseils
Pour booker un hydravion : https://hydravionquebec.com
Accorde une attention particulière au choix de ton assise. Nous te recommandons de renforcer les sièges avec des coussins gonflables et des mousses pour prévenir tout inconfort au niveau des fesses.
Attention à la charge maximum que ton kayak supporte, dépasser cette charge rendra ton kayak plus instable.
Soit minimaliste. Chaque gramme est un gramme de plus à devoir porter.
Renseigne toi sur les animaux sauvages et ce qu'il faut faire en cas de rencontre. Il faut également se munir d'une bombe répulsive au poivre de Cayenne en cas d'attaque d'Ours.
N'emporte pas seulement un briquet, mais munis-toi également d'un firesteel. Si le briquet est mouillé, il devient inutilisable, alors qu'avec le firesteel, il suffit de le sécher pour qu'il fonctionne à nouveau.
Pour recharger les batteries de ton portable, nous te conseillons de la panneau solaire 16W de SolarBrother ainsi que la batterie externe qui fait aussi lampe. (NVK10 te permet d'économiser 10%). Nous parvenons à recharger les batteries de notre drone, ainsi que nos téléphones portables et caméras, à l'aide de ce panneau solaire. Cela témoigne de la qualité exceptionnelle du produit et de sa rapidité de chargement, surpassant d'autres alternatives sur le marché.
Nous avons choisi la gourde filtrante LIFESTRAW avec une paille intégrée pour la gestion de l'eau. Ses avantages comprennent sa légèreté et son design, qui nous ont permis de gagner de l'espace.
Pour planifier notre itinéraire, nous avons utilisé les images de Google Earth et Maps.me. Nous te recommandons de modifier les dates des prises de vue satellites en fonction des saisons pour évaluer le niveau d'eau. Pour éviter les rapides, leur présence est également visible sur les images satellites, mais il est essentiel d'être prudent sur place. Nous avions préparé le trajet en utilisant des cartes que nous avions plastifiées et emportées avec nous tout au long de l'aventure.
Il est essentiel d'attacher toutes les affaires au Kayak. En cas de basculement, tout reste sur le Kayak.
Nous n'avions pas de chaussures spéciales pour Kayak. Il est préférable d'avoir une bonne paire de baskets afin d'être à l'aise pendant les portages.
Pour effectuer les portages, le mieux c'est de vide au maximum le Kayak et d'y laisser uniquement les sièges. Tout le reste des affaires nous le portions attaché à nos sacs à dos. Nous avions ajouté une anse de portage permettant de transporter le kayak sur l'épaule à l'avant et à l'arrière.
Nous partons toujours avec notre Téléphone Satellite in reach mini 2 afin d'envoyer un SOS si besoin. A savoir que désormais l'Iphone 14 (et ceux d'après) proposent le téléphone Satellite intégré au téléphone.
Matériel
Combinaison de flottaison (Le Bon Coin)